Publié le 18/09/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Non, ce n'est pas un nouveau, pas déjà, quoique à dire vrai, ça ne va pas tarder. Le deuxième titre de La Boîte à Mystères devrait sortir pour Noël.
Mais pour le présent, j'ai décidé de faire une nouvelle édition de mon tout premier, sorti en 2003, déjà ! "LE REGARD DE LEONARD", qui témoigne de ma pratique de direction et de gestion des Relations Humaines dans ma petite entreprise. Il est plus que jamais d'actualité quand je vois à quelle vitesse la situation se dégrade sur fond de "management" et autres inventions qui ne font que briser le lien social alors qu'il faudrait le renforcer.
Donc pour tous ceux qui rêvent d'une meilleure ambiance au boulot, pour les cadres qui se laissent enfermer dans un rôle de "pervers narcissique" taillé sur mesure par le système, regardez avec moi ce qui se cache derrière l'arbre qui cache la forêt...
J'espère l'avoir vers le 5 octobre.
Publié le 15/09/2008 à 12:00 par cahierscotentin
C'est la reprise pour tout le monde, même pour les retraités !
Les « Rencontres autour d’un Verre » vont continuer d’exister en 2008-2009, sur le même principe de permettre en toute liberté l’échange du public avec des artistes locaux, sans exclusive du domaine artistique, mais avec une autre formule histoire de ne pas s’installer dans des habitudes.
Donc nouveau rythme, nouveau lieu et nouveau contenu pour cette troisième « saison ».
- nouveau rythme : les « Rencontres » deviennent trimestrielles
- nouveau lieu : le Café du Théâtre
- nouveau contenu : plusieurs invités à chaque « Rencontre », dans des domaines artistiques différents.
Le Café du Théâtre s’adapte bien à ce nouveau projet, permettant de regrouper en un seul lieu des artistes différents qui disposeront d’un espace spécifique, sans se gêner entre eux, avec la possibilité d’exposer leurs œuvres, et avec un accueil du public de qualité, bien que le côté « coin de bar » des saisons précédentes ne manquait pas de charme.
J’ai déjà un panel d’artistes pressentis pour cette troisième saison, mais il n’y a aucune exclusive, et le planning n’est ni complet ni bloqué. Le Cotentin recèle des richesses artistiques qui ne demandent qu’à être connues et reconnues, et je recevrai avec bonheur toutes suggestions ou candidatures. Plus on est de fous, plus on rigole…même entre gens sérieux !
Premier rendez-vous :
Samedi 4 OCTOBRE 2008 de 16h à 18h
Au Café du Théâtre
Rentrée, présentation de la saison.
Pot
Reenez les dates probables pour cette saison, et un début de programmation
29 NOVEMBRE
Tony Durand : Graphiste
Dovann : Magicien
Nicole Bérard : aquarelliste
Daniel Boucard : écrivain
21 FEVRIER 2009
André Servant « lecteur ou liseur ? »
Sébastien, Auteur-chanteur de « Les pieds dans le Bocal »
Jean-Marc Leterrier : peintre
Hervé Constantin : romancier
François David : Auteur et éditeur
23 MAI 2009
Laurence Bohec : auteur de théâtre
Florane Blanche : peintre
4 JUILLET
Florilège
A suivre
Publié le 07/08/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Un petit dernier, cause parution dans le journal. Voila donc la photo de la rencontre très sympathique à Omonville-La-Rogue, sous un soleil radieux. Dans l'ordre en partant de la gauche : Jean-Pierre Monfleur - caricaturiste- ; Michel Lebonnois -aux chants du terroir- ; Hervé Schultz -poète-; notre hôtesse Marie-Pierre Bonnet ; Sylvia Kohnen -peintre-; Bernard Le Guennec - à l'accordéon-; Gérard Poirier -poète. Il nous manque Jean-Marc Leterrier présent par ses carnets de croquis.
Un bon moment croqué par Gérard Poirier :
"Connaissez-vous bien l'épicerie du coin ?
Ici on discute, on se crée des liens.
Quelque soit l'heure, quelque soit le temps,
La porte est grande ouverte à tous les clients"
Publié le 17/07/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Le "Festival du Livre de Mer et d'Aventure" de Saint Vaast La Hougue s'est bien passé, sous le soleil après quelques inquiétudes, et avec une bonne fréquentation. La saison des salons commence bien. J'ai eu pas mal de bons retours de lecteurs de "Cherbourg-Paris, Km 171" qui se vend très bien. La suite dimanche 20 à Bretteville sur Ay.
Publié le 04/06/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Pour visionner l'extrait de présentation du spectacle "Cherbourg-Atlantique, Notes d'Exil" rendez-vous sur le site :
http://fr.youtube.com/watch?v=NluQ5PpoDqs
Publié le 19/05/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Cherbourg-Atlantique : Un vrai moment d'émotion que ce spectacle musical créé samedi soir à Villepreux. Le tandem Cédric Lebonnois-Anne Barlind a superbement fonctionné, et les textes de Cédric, les musiques de ces compositeurs bannis par les nazis, ont été servis avec talent par les douze musiciens de l'Ensemble Les Cordes'Orchestre, par un danseur génial et par trois comédiens dont un enfant de 12 ans qui se souviendra de ce premier rôle (
photo jointe, avec Cédric). Une mise en scène sobre et efficace d'Anne Barlind, et cette toile de fond changeante où se sont succédées des photos prêtées par la CCI de cherbourg, de la superbe Gare Maritime Transatlantique toute neuve en 33 jusqu'à des images poignantes de ses ruines en 44.
Si ce spectacle peut trouver l'avenir qu'il mérite, il ne faudra pas le manquer.
Publié le 19/04/2008 à 12:00 par cahierscotentin
http://cahierscotentin.jimdo.com/ est le nom de mon nouveau site où mes livres sont présentés. Bienvenue
Publié le 29/03/2008 à 12:00 par cahierscotentin
C'est ce soir que nous changeons d'heure. Attention aux insomnies !! Une histoire extraite de
"CLIC, CLAQUE ! et autres histoires"
INTERSTICE
A la recherche du temps perdu...
Samedi 25 mars 2006, 20h et quelques. Installé devant la télé, je mangeais ma soupe que j’avais préparé moi-même : carottes et pommes de terre râpées en julienne, poireaux finement émincés, oignons hachés et vermicelle. Un régal, j’aime la soupe, depuis que je suis tout petit. Ma grand-mère en jouait, qui me menaçait si je n’étais pas sage de me « mettre de l’eau dans ma soupe » ; cela me semblait le comble de l’horreur et je faisais des efforts démesurés pour échapper à cette calamité…
La présentatrice du journal télévisé nous avait rappelé que cette nuit, nous passions à l’heure d’été. Sur fond d’horloge, le commentaire expliquait qu’à deux heures, il serait trois heures ; et l’horloge marquait d’un triangle rouge clignotant la zone entre deux et trois pour symboliser l’heure qui n’existerait pas cette nuit. Pas de trains entre deux et trois, pas de travail entre deux et trois, pas de sommeil entre deux et trois ; une heure de perdue, sacrifiée il y a trente ans sur l’autel giscardien des économies d’énergie.
Je m’étais laissé prendre un moment sur Arte par un reportage traitant d’une région d’Anatolie où se construisait un barrage qui menaçait d’engloutir un site archéologique extraordinaire mis à jour à l’occasion des fouilles conservatrices préalables à la mise en eau. Neuf hectares de thermes romains alimentés par une source chaude encore active, en état surprenant de conservation ; d’où débats et polémiques entre les acteurs du barrage promettant les richesses agricoles à une population de paysans miséreux et les archéologues promettant les richesses touristiques soutenus par tout ce que le monde compte de sommités en matière de sauvegarde du patrimoine mondial. À 21h30, un zapping rapide pour vérifier les autres chaînes, proposant émissions populistes débiles ou séries policières américaines insipides. Il pleuvait, on perdait une heure, je serais mieux dans mon lit. À 21h45, je dormais comme un bienheureux.
Pourquoi me suis-je réveillé à une heure cinquante neuf ? Trop chaud, une espèce d’angoisse… Dans ce demi-sommeil, ou demi-réveil, mon œil s’est accroché au cadran rouge du réveil, rouge comme l’heure perdue. Perdue, mais l’est-elle vraiment pour tout le monde ? Que devient-elle ? Les secondes s’égrenaient et l’instant fatidique approchait ; je restais les yeux fixés sur cet écran : qu’allait-il se passer ?
58, 59…Sans préavis, je me sentis aspiré dans ce vide créé entre deux et trois, dans cette zone rouge clignotante qui devenait mon aire de vie. Pourquoi ai-je regardé l’écran ?! Je tombais dans cet interstice temporel, enveloppé d’une lueur rougeâtre, froide, insipide, inodore, et surtout silencieuse ; pas le moindre son ! Je cherchais vainement le tic-tac rassurant de ma vieille horloge centenaire qui avait elle aussi perdu une heure cette nuit. Je tombais, je tombais…
Brutalement je roulai sur le sol d’une pièce étrange, sorte de vaste cube sans toit aux parois métalliques lisses et nettes légèrement inclinées comme un entonnoir, sans une ouverture, sans un meuble, baignée de lumière rouge, et fus en même temps plongé dans un tintamarre immatériel qui me fit me recroqueviller dans un coin ; il y avait eu d’abord un choc violent, comme la chute d’un gros objet qui aurait éclaté en s’écrasant au sol, puis une série de coups plus légers assortis chacun d’une discrète explosion, enfin un crépitement de feu d’artifice provoqué par la chute invisible d’une multitude de petits objets ; cela faisait penser à une bombe à fragmentation. Prostré dans mon coin, j’ouvrais des yeux écarquillés sans rien pouvoir discerner de matériel justifiant ce vacarme. Puis le silence revint.
J’allais enfin bouger, tenter de trouver une issue à cette invraisemblable aventure quand j’entendis des pas. Je me fis de nouveau le plus petit possible dans le coin le plus sombre : une ouverture se fit dans le mur en face et une créature entra dans la pièce avec d’infinies précautions, regardant attentivement où ses pieds se posaient, comme s’ils risquaient d’écraser je ne sais quoi d’invisible à mes yeux. Je reconnus E.T., ce petit personnage extraterrestre qui cherchait sa maison ; il tenait dans ses mains une pelle et une balayette et traînait derrière lui un chariot. Il ne me vit pas tout de suite, manifestement préoccupé par quelque chose de beaucoup plus important. À peine entré, il se mit au travail ; c’est tout au moins ce que je crus comprendre à le voir s’affairer, avançant doucement, méthodiquement, et ramassant à chaque pas des objets que je ne voyais pas qu’il déposait dans son chariot avec minutie, en cochant consciencieusement une case dans un tableau accroché au flanc de sa machine. Il parcourut ainsi toute la pièce, centimètre par centimètre, en maugréant des mots d’abord incompréhensibles, se précisant au fur et à mesure qu’il approchait de moi :
-
« Et chaque année c’est pareil ! Ne rien oublier, ne pas en laisser une seule, sinon nous ne pourrions pas la réparer pour la renvoyer dans six mois… »
De quoi parlait-il donc ? Il me touchait presque, le regard fixé au sol, continuant rigoureusement sa cueillette mystérieuse. Il souleva mon pied pour ramasser quelque chose dessous, et prit en même temps conscience de ma présence : il recula d’un bond en poussant un cri auquel fit écho ma propre peur.
-
« Mais qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous faites-là ? Vous n’appartenez pas à l’heure perdue, que je sache ? Cette pollution est inadmissible, vous allez m’égarer des secondes et ce sera la catastrophe ! »
- [i]« Je suis désolé monsieur E.T., c’est un accident, j’ai regardé mon réveil juste au moment où l’heure se perdait, et elle m’a emmené avec elle ! Aidez-moi, je veux retrouver ma maison… »
- « Eh, ho, ce refrain-là, je connais. Mettez vous près de la porte où j’ai déjà nettoyé, je vous inspecterai après, quand j’aurai fini et que je saurai combien il en manque. »
- « Mais, de quoi ? »
- « Eh bien des secondes pardi, 3600, qu’il nous faut ensuite regrouper en 60 minutes elles-mêmes rassemblées pour reconstituer l’heure perdue qui s’est écrasée dans cet habitacle conçu à cet effet. Vous n’imaginez pas le mal que nous avons eu la première fois, en l’an 1976 de votre planète, quand nous avons vu arriver cet objet insolite qui s’est éparpillé partout. Cela nous a pris des jours et des jours pour les retrouver toutes. Alors nous avons construit ce réceptacle, bien lisse, bien propre où je les ramasse en les comptabilisant soigneusement. Voilà, j’ai fini ; il m’en manque une douzaine qui doivent être collées sur vous où sous vos semelles, laissez-moi regarder. » [/i]
Après une inspection minutieuse ponctuée de sourires et d’exclamations chaque fois qu’il trouvait sur moi une seconde égarée, il se redressa, mit les mains sur son chariot et m’entraîna avec lui :
[i]- « C’est terminé, il n’en manque pas une ; nous allons pouvoir la réparer. Dans six mois la porte temporelle s’ouvrira pour l’heure d’hiver et nous pourrons la renvoyer, toute neuve. Vous pourrez repartir
- « Comment ça six mois ? Mais j’ai autre chose à faire que de rester là, nulle part, enfin je ne sais pas où ! Ma femme va être affreusement inquiète, du moins je l’espère ! S’il vous plaît, vous n’auriez pas un téléphone ? Je veux rentrer à la maison ! »
- « Je vous ai déjà dit que je connais ce refrain, et je vous comprends. Je vais en parler avec le conseil, quelqu’un aura peut-être une solution. »[/i]
Je le suivis dans des couloirs éclairés par une lumière douce et reposante, dont les cloisons étaient des serres où poussaient toute sorte de plantes inconnues ; je l’arrêtai soudain :
- [i]« C’est bien un petit sapin que vous avez là, et ici un rosier, et plus loin un plan de carottes… ? »
- « En effet, ce secteur est celui de votre planète. »
- « Alors les plantes que je ne connais pas viennent d’autres planètes ? »
- « Dites donc, je vous trouve bien curieux pour quelqu’un qui prétend être là par accident ; vous ne seriez pas plutôt venu nous espionner ? »
- « Non, non, j’oublie tout mais aidez-moi… »
- « Oui, je sais, maison ! »[/i]
Il m’installa dans une petite chambre confortable, dans l’angle de laquelle trônait un énorme ours en peluche :
-
« Un souvenir de voyage… » me précisa-t-il
Il revint quelques instants après avec sur un plateau une tasse fumante accompagnée de quelques madeleines:
- [i]« Mangez un peu, buvez cette tisane et finissez votre nuit. Demain sera un autre jour »
- « Vous voilà bien philosophe tout d’un coup ! »
- « Aucune science n’a de secrets pour moi ! » [/i]Et il me laissa.
Sous l’effet de la tisane sans doute, je m’endormis d’une masse et sombrai dans un sommeil profond sans rêves ni cauchemars.
Une main douce et ferme me secouait ; je m’accrochais à mon sommeil libérateur. La voix qui accompagnait le geste n’était pas celle d’E.T. ; je connaissais cette voix…
Je m’éveillai d’un bond, j’avais reconnu la voix de ma femme : je la regardais d’un air hagard, éperdu :
- [i]« Qu’est-ce qui se passe ? Tu en fais une tête, on croirait que tu reviens de la lune ! »
- « Ah ! Tu crois que c’était sur la Lune ? »
- « De quoi parles-tu ? » « Non, rien excuse-moi… Je me sens vraiment reposé, et bien content de te voir. » [/i]
Publié le 20/03/2008 à 12:00 par cahierscotentin
Un petit amusement inspiré par l'actualité. Si vous croyez reconnaître quelqu'un c'est normal, c'est fait pour...
Le Zimbu
Une équipe de chercheurs du CNRS composée de paléontologues, de géologues, et de quelques spécialistes des Sciences Humaines vient d’identifier une espèce animale fort ancienne, dont l’apparition aurait suivi de peu celle de l’Homo Sapiens-sapiens dans l’échelle de l’évolution.
Les restes de cette espèce avaient jusqu’à maintenant été attribués tantôt au mammouth, tantôt à un grand bovidé, certains même les rapprochant des grands carnassiers de l’ère secondaire se nourrissant de charognes.
Il est aujourd’hui établi avec certitude, grâce aux études extrêmement fines rendues possibles par les progrès mondialement reconnus de la recherche française, qu’il s’agit d’une espèce beaucoup plus récente, contemporaine des ultimes phases de l’Evolution animale, peut-être même est-ce une autre branche, entre l’Homme et les grands singes, proche de Neandertal. Sans être privilégiée, cette hypothèse est très sérieusement étudiée. Il semble en effet au regard de la capacité de la boîte crânienne que cette espèce pourrait avoir été douée de raison.
La reconstitution d’un squelette bien conservé mis à jour tout récemment dans les vases d’un ancien bras de la Seine a permis de faire connaissance avec cet individu qu’ils ont dénommé « ZIMBU ». Le Zimbu, de lui-même pourrait presque se confondre avec un humain, n’était sa masse osseuse et structurelle beaucoup plus lourde qui donne à penser qu’il devait investir beaucoup d’énergie dans ses déplacements, courant maladroitement à droite ou à gauche sans résultats satisfaisants pour son grand appétit, et de ce fait sans doute était-il dépendant pour sa subsistance d’autres espèces plus agiles qui utilisaient sa force brutale pour conclure leurs chasses au terme d’un patient et rusé rabattage. Le Zimbu recevait alors sa part de la conquête, persuadé d’être l’auteur de la réussite de la chasse, ses capacités intellectuelles ne lui permettant pas de considérer la part active des autres espèces.
C’est sans doute cette incapacité à prendre en considération l’existence des autres qui a valu au Zimbu sa disparition, victime des prédateurs qui se servaient de lui mais n’hésitaient pas à le dévorer quand la chasse n’était pas suffisamment fructueuse. Le Zimbu, de lui-même, était incapable de prise de conscience et ne savait que foncer, sûr de sa force, convaincu que le monde ne pouvait se passer de lui.
Au fond ce pauvre Zimbu devait apparaître comme un gros balourd dont il fallait savoir esquiver les charges brutales, une sorte de taureau de corrida, ce qui explique la confusion qui a régné pendant toutes ces années avant de parvenir enfin à son identification.
Cette espèce est disparue depuis plusieurs millénaires, mais comme pour les Néandertaliens, il n’est pas à exclure que quelques individus existent encore par la grâce des appétits sexuels des humains, les gènes des deux espèces apparaissant comme compatibles. Les greffons issus de ces fusions pulsionnelles ont donc pu se prolonger jusqu’à nous. La génétique n’a pas fini de nous surprendre, et cette découverte pourrait bien donner matière à recherches dans ce domaine. Encore faudrait-il identifier les individus aux organismes ainsi génétiquement modifiés par la nature, et qu’ils acceptent de se soumettre aux multiples tests et examens nécessaires, ce dont on peut sérieusement douter s’ils possèdent les caractéristiques psychologiques attribuées au Zimbu par les chercheurs en psychologie : entêté, sûr de lui et de sa capacité à dominer les autres, inaccessible à tout ce qui pourrait ressembler à un mise en question de sa personne.
Mais les chercheurs ont pour eux leur patience et leur capacité structurelle à s’attaquer à l’infini. N’en doutons pas, le Zimbu finira bien par révéler ses secrets.
ML 20-03-08
Publié le 28/02/2008 à 12:00 par cahierscotentin
" Mon île" est le titre de la chanson qui accompagne ce film promotionnel, qui dure 4', réalisé par Jean-Noël et Fabienne, mes neveux à l'accent de soleil, pour faire connaître leur compétence et les services que proposent leur "petite entreprise" toute neuve; les images sont superbes et la voix fort agréable...
Allez sur
http://www.infinimentweb.fr/centre/video/
et une fois sur le site c'est rubrique : film vidéo promotionnel
Ne vous privez pas d'un beau voyage !